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On écrit pour pouvoir oublier
Quand ils existaient encore, pouvait-on considérer les horaires de chemin de fer comme relevant de la littérature de gare ?
En français, les lipogrammes en « î », ou bien en « ë » sont assez difficiles à repérer…
J’ai longtemps cru que c’était parce qu’ils avaient été écrits par leurs auteurs après leur mort que l’on parlait d’ouvrages posthumes…
Y a-t-il plus beau métier qu’être un héros de roman, mais je ne sais pas comment trouver un écrivain susceptible de m’utiliser, ni le convaincre de le faire…
L’instant fugace entre le passé qui s’enfuit et l’avenir qui se précipite est le moment idéal pour que se déroule la musique.
En matière de dédicace, rien ne serait plus logique que l’auto-réflexive : « à moi-même, sans qui ce livre n’existerait pas » !
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